Comme un songe au théâtre l’apostrophe de Cergy.
Depuis sa publication en 1697, des générations d’enfants se sont entendu conté l’inquiétant et merveilleux conte de Perrault : La belle au bois dormant.
Mémoire ou désir de rêverie, sur le panel de nos propositions et sans grandes tergiversations nos « résidants spectateurs » ont opté pour cette histoire intemporelle.
Nous nous sommes donc rendu au théâtre de l’Apostrophe pour assisté à une adaptation onirique détonante.
La mise en scène signée J.M Rabeux s’éloigne de la version édulcorée de Disney conservant le prégnant mélange des sentiments : » Le conte dit toute la vie, avec ses beautés, mais aussi ses inadmissibles cruautés » le précise ce dernier.
Une lecture pour chaque age, les époques s’y s’entrechoquent ; les princes et les princesses se déplacent en skate et la reine est une « ogresse du dollar »…
Mais point trop d’émotion, tout finira bien dans la marmite à cuire les malfaisants !